Sublime 2CV Fourgonette d’un jaune moutarde éclatant
2CV-MCC | 24 septembre 2021
En 1947, le père de Jean-Claude Pottier s’installe à son compte comme garagiste à Boucé dans le département de l’Orne, à une dizaine de kilomètres au sud d’Argentan. Il est alors agent Citroën et distributeur des tracteurs agricoles allemands Fendt. En ces années d’après-guerre, c’est la grande époque des Traction ainsi que des camions U 23 et T 45. En attendant la sortie de la 2 CV en 1949, le garage Pottier répare aussi beaucoup de voitures d’Avant-guerre.
Né en 1961, Jean-Claude grandit dans le garage paternel. Dès sa plus tendre enfance, il baigne dans un univers exclusivement automobile. La mécanique et Citroën font en quelque sorte partie de son ADN. Aussi loin que remonte sa mémoire, il a toujours su ce qu’était un moteur, une boîte de vitesse, un arbre de transmission, un châssis ou encore une vidange. Sa voie est toute tracée ! Adolescent, il n’est pas rare qu’après l’école, le soir ou le samedi, il vienne aider son père à l’atelier. En 1978, après deux ans de pensionnat à l’Institut Lemonnier à Caen, il obtient un CAP – BEP en mécanique automobile. Il travaille alors au garage puis part faire son service militaire en 1980. Démobilisé en 1981, il prend alors la tête de l’affaire familiale.
A l’époque, les voitures neuves qui arrivent au garage doivent être préparées. Souvent les clients demandent que les soubassements soient traités contre la corrosion. Il y a de la neige et du verglas tous les hivers et les routes sont généreusement salées. Et puis, dans ce monde essentiellement rural et agricole, les voitures et les utilitaires ne sont pas particulièrement ménagés. « C’est fait pour servir ! » Il vaut mieux prévenir que guérir…
Mais, avec le développement de l’affaire au fil des ans, le garage familial de 500 m2 manque cruellement d’espace. Situé en centre-ville, il devient aussi parfois gênant pour les riverains et la circulation. Et puis, surtout, il n’est pas vraiment pratique. En effet, celui-ci est alors composé de deux bâtiments distincts qui sont dans la même rue, mais à dix mètres de distance l’un de l’autre et ne communiquent pas. Le premier, avec pompes à essence, sert pour les vidanges et le service rapide tandis que le second est dédié aux grosses interventions mécaniques. Aussi, les bureaux sont accolés à la maison de Jean-Claude de l’autre côté de la rue… Au début des Années 2000, il est temps de mettre en place une organisation plus rationnelle avec un garage plus vaste et désormais situé à la périphérie de l’agglomération. Sur un terrain d’un hectare, Jean-Claude fait alors construire un bâtiment de 750 m2, moderne et rationnel. La construction, lancée en 2004, dure un an et l’inauguration a lieu en septembre 2005. Le nouveau garage accueille aujourd’hui trois postes de travail avec un tôlier-peintre et deux mécaniciens dont un en charge du Chrono Service pour toutes les petites interventions d’entretien courant d’une heure et demie maximum. C’est aussi ce dernier qui se charge du nettoyage et de la préparation des voitures d’occasion. Claire, l’épouse de Jean-Claude, assure tout ce qui est administratif, et notre ami se réserve la partie commerciale, achats et ventes, et le dépannage. Il donne aussi un coup de main à l’atelier lorsqu’il y a beaucoup de travail.
Le garage Pottier travaille aujourd’hui sur les voitures de collection depuis plus de dix ans, mais il s’est toujours occupé de voitures anciennes. Il s’en était fait une spécialité depuis longtemps et il n’était pas rare que des confrères lui envoient ainsi des clients. Travailler sur des voitures « âgées » n’a jamais dérangé Jean-Claude, au contraire, il préfère. Il a plus de satisfaction à réparer une pièce, à la remettre en état qu’à la changer comme on le fait un peu trop systématiquement aujourd’hui.
Le garage Pottier est Point-Relais depuis plus de quatre ans. Il connaissait déjà le 2CV-MCC chez qui il commandait régulièrement des pièces. Puis, de fil en aiguille, il a fini par franchir le pas. Il reste encore beaucoup de 2 CV en circulation dans les environs de Boucé, et cela représente pour lui un volume d’activité supplémentaire qui permet de joindre l’utile à l’agréable. Et en plus, ce qui ne gâche rien, les clients sont des gens sympathiques et passionnés. Pour eux, la 2 CV est devenue une voiture de plaisance à part entière. Véritable phénomène, elle est tout autant un art de vivre qu’un outil d’évasion. D’ailleurs, Jean-Claude constate régulièrement cet engouement pour la 2 CV mais aussi pour la marque aux deux chevrons. Aujourd’hui, les clients Citroën sont toujours à la recherche d’automobiles différentes et possédant une forte identité technique. L’esprit qui anime les 2 CV, les Méhari et toutes les Citroën emblématiques est toujours bien là !
Trois questions à : Jean-Claude Pottier
Interview express :
● Depuis combien de temps êtes-vous dans la 2 CV ?
– « J’ai grandi avec la 2 CV. Mon père les vendait neuves. On les préparait avant de les livrer aux clients. En sortant de l’école j’allais au garage et on les déparaffinait avec un produit spécial. Et puis, selon les demandes, on les blacksonnait mais aussi on posait divers accessoires, des housses, des attelages, des auto-radios, des rétroviseurs, etc. Pour les traiter on démontait les roues et on les levait sur des grands crics. Puis on enduisait les soubassements avec pistolet à air comprimé spécial. On s’en mettait toujours partout. Aujourd’hui, on ne ferait plus ça dans les mêmes conditions… Avant la remise des clefs, on faisait aussi les pressions et on vérifiait tous les niveaux depuis le lave-glace jusqu’au liquide de frein. Il ne fallait surtout rien laisser au hasard ! Le parallélisme et les hauteurs de caisse étaient par exemple repris si cela était nécessaire. Cela ne veut pas dire que cela n’était pas fait, mais nous le vérifions systématiquement au cas où. Ensuite venait le rodage, on donnait des conseils aux clients, puis les premières révisions après 1 000 km. Il fallait resserrer tout un tas de choses comme les culasses, le carburateur, la tubulure, les tambours de frein. On avait une liste de plus de trente points avec vérifications et réglages ! »
● Quel est votre modèle préféré ?
– « Pour moi toutes les 2 CV sont intéressantes quel que soit leur âge. Mon fils a une 2 CV 6 Charleston et moi je possède une 2 CV 6 que j’ai spécialement préparée et avec laquelle j’ai fait la première édition du Raid des Baroudeurs en 1990. Mais je ne me limite pas à la seule 2 CV. J’aime aussi par exemple beaucoup les Méhari. C’est une voiture que j’ai véritablement découverte lorsque j’ai fait mon service militaire. J’en garde de très bons souvenirs. C’est une voiture à la fois amusante et pratique à tous points de vue. Malheureusement, aujourd’hui, la Méhari est devenue introuvable. Tout le monde en veut et les prix ne cessent de grimper… Dans mon garage personnel, j’ai aussi une LN de 1977 équipée du moteur de 602 cm3 et dont le compteur affiche seulement 70 000 d’origine sans centrifuge. Sinon, mon rêve serait de trouver une Méhari 4 x 4 mais, là, c’est encore plus rare et encore plus cher que la Méhari 4 x 2. C’est une voiture vraiment géniale pour faire du tout-terrain. Sur le site Citroën de Limay près de Paris, une annexe de la succursale Félix Faure, ils en utilisaient plusieurs. C’était apparemment des exemplaires d’avant-série sans carte grise. J’aurais bien aimé leur en acheter une, mais ils n’ont jamais voulu. »
● Quel est votre meilleur souvenir de petite Citroën ?
« Mon meilleur souvenir en 2 CV est sans aucun doute la première édition du Raid des Baroudeurs. C’est mon collègue Olivier Mathien qui était agent Citroën à Lesap à côté de Gacé, qui m’en avait parlé. J’avais pris le départ avec Jean-Paul Vétillard qui était un grand amateur de voyage. Pour ce raid, j’avais préparé une 2 CV 6 qui n’avait que 20 000 km d’origine mais qui, prise en sandwich dans un accident, avait tapé de l’avant de l’arrière… Mais il n’y avait rien de très grave puisqu’elle était encore roulante. Nous sommes partis de Noyal-sur-Vilaine près de Rennes en Bretagne au printemps, le 21 avril 1990. La 2 CV vivait alors ses derniers mois de production au Portugal… Nous avons traversé la France puis toute l’Espagne jusqu’à Algésiras où nous avons pris le bateau pour Tanger et le Maroc. De là, nous sommes allés jusqu’au grand sud Marocain par les pistes et le désert. Nous avons découvert des paysages exceptionnels par leurs couleurs et leur beauté. Il y avait 80 équipages composés essentiellement de 2 CV Berlines mais il y avait aussi des 2 CV Camionnettes ainsi que des Dyane, des Acadiane et des Ami 8. Je n’ai pas souvenir qu’il y ait aussi eu des Méhari. Nous roulions guidés par le road-book sans aucun esprit de compétition. Tout le monde s’entraidait dès qu’il y avait un problème. Si nous pouvions réparer, nous le faisions, sinon l’assistance s’en chargeait. En tout j’ai fait plus de 7 500 km lorsque je suis revenu à Boucé. J’aimerais bien un jour pouvoir repartir pour un tel voyage. La traversée des Etats-Unis par la mythique Route 66 me tenterait bien. Ma 2 CV est prête ! »
Garage Jean-Claude Pottier
Route de Carrouges
61570 Boucé
Tél. : 02 33 35 21 31
Mail : pottier.jeanclaude@wanadoo.fr
Site : https://www.garage-citroen-pottier.fr/
Lorsque la 2 CV est dévoilée au public le 7 octobre 1948 au Salon de Paris, elle choque, étonne et surprend. Les solutions minimalistes imaginées pour elle par ses concepteurs sont en effet plutôt inhabituelles à tous points de vue. Ainsi, pour le volant, l’on trouve un ensemble métallique volant-colonne de direction d’un seul tenant entièrement réalisé en tube.
Si la voiture est uniformément peinte en gris métallisé, l’ensemble métallique volant-colonne de direction est peint en noir dans un but uniquement pratique. Cette couleur est la moins salissante pour un volant… Cet ensemble est alors une nouveauté sans en être réellement une. En effet, sa conception remonte à la seconde moitié des Années trente puisqu’il a été repris de la 2 CV en aluminium à un seul phare dont la production en série avait été lancée en prévision de sa présentation au Salon de Paris en octobre 1939. On a juste habillé son moyeu avec un élément en tôle emboutie pour le rendre esthétiquement plus acceptable.
Les Années cinquante
Lorsque la production de la 2 CV A débute effectivement le 11 juillet 1949 à l’usine du quai Michelet à Levallois, elle est équipée de ce même volant métallique peint en noir sans aucune modification. Doté de deux branches, sa jante offre un diamètre extérieur de 42 cm et il entraîne la crémaillère par l’intermédiaire d’un pignon de commande à sept dents. La colonne de direction est fixée au bas du tableau de bord par un collier de tôle plate en forme de U via un tube fixe. Long de 28 cm, elle tourne à l’intérieur de celui-ci en appui sur deux paliers en caoutchouc positionnés à chaque extrémité du tube fixe. Entre le tube fixe et le bas du tableau de bord, l’on trouve une cale de réglage en caoutchouc dont l’épaisseur, de 1,35 cm, 1,95 cm ou 2,55 cm, varie en fonction des besoins. Les fourrures de paliers sont alors solidaires de la colonne de direction. Depuis le sommet du moyeu jusqu’à l’extrémité basse de la colonne de direction, l’ensemble mesure exactement 80 cm. Ce montage est aussi adopté par la 2 CV AU, version Camionnette de la 2 CV A, présentée au Salon de Paris en octobre 1950 et mise en production à partir du 20 février 1951.
Les premières modifications apparaissent en 1953 simultanément sur les 2 CV Berlines et Camionnettes. En juillet, les fourrures de paliers ne sont plus solidaires de la colonne de direction mais désormais positionnées dans les paliers en caoutchouc eux-mêmes. Ces fourrures sont désormais en nylon moulé. Le tube fixe de direction voit alors sa longueur réduite et passe de 28 à 26,5 cm. Au mois de septembre suivant, l’ensemble volant-colonne de direction et le tube fixe perdent leur couleur noir pour devenir Gris Uni Foncé AC 118 couleur adoptée pour la carrosserie et ses accessoires depuis septembre 1952.
Dès lors, et jusqu’en 1962, les modifications ne vont quasiment plus porter que sur la couleur. En août 1954 le Gris Uni Foncé AC 118 est remplacé par le Gris Clair AC 132. Puis celui-ci est à son tour remplacé sur les 2 CV Berlines en novembre 1956, lors de la sortie de la 2 CV AZL, par un gris plus clair désigné Gris Acier AC 121. La 2 CV AZU conserve le Gris Clair AC 132. Le tube fixe qui était entièrement lisse, reçoit deux anneaux emboutis sur la partie basse à partir du mois de février 1958. Ces deux anneaux marquent alors l’emplacement du collier de fixation au tableau de bord.
Les Années soixante
En septembre 1960, le Gris Acier AC 132 est lui-même remplacé par un autre gris clair, le fameux Gris Rosé AC 136. Les 2 CV Camionnettes qui avaient conservé le Gris Clair AC 132 apparu en août 1954, adoptent elles aussi le Gris Rosé mais à partir du mois de juillet 1961.
A partir du mois de septembre 1962, les 2 CV Berlines et Camionnettes reçoivent une nouvelle planche de bord avec essuie-glaces électriques et bandeau aérateur en plastique moulé. Afin de conserver alors le même espace sous volant, la colonne de direction est rallongée d’un centimètre et l’ensemble volant-colonne de direction passe de 80 à 81 cm. Quant au tube fixe, il passe lui de 26,5 à 27,9 cm de long.
En mars 1963, la 2 CV AZAM, la fameuse version Berline haut de gamme dont la finition est inspirée de celle de l’Ami 6, reçoit un volant amovible en bakélite Gris Rosé fourni par la maison Quillery. Offrant lui aussi un diamètre de 42 cm, mais avec un confort de prise en mais amélioré, il est fixé via trois vis TH sur une colonne de direction indépendante. Le tube fixe est lui aussi spécifique au modèle. Il mesure 40,5 cm de long et possède deux points de fixation au lieu d’un seul. Le premier, en bas du tableau de bord est conservé mais un second est positionné sous ce dernier au niveau de la tablette vide-poches. Ce nouveau tube possède lui aussi deux paliers.
Le mois suivant, en avril 1963, la gamme des utilitaires Citroën s’enrichit d’une nouvelle 2 CV Camionnette, la 2 CV AK 350 qui vient épauler la 2 CV AZU maintenue au catalogue. Cette nouvelle 2 CV Camionnette qui reprend toute la base châssis et mécanique de l’Ami 6, voit sa charge utile passer de 250 à 350 kg. Sa carrosserie, dérivée de celle de la 2 CV AZU, est rallongée de 20 cm dans le porte-à-faux arrière. Le montage de direction est identique à celui de cette dernière exception faite du pignon de commande de crémaillère, de type Ami 6, à sept dents lui aussi, mais dont le diamètre de l’embout est de 11,94 mm.
A partir du mois d’avril 1966, il est possible d’obtenir en option le montage en usine d’un antivol de direction qui assure aussi la fonction d’interrupteur de contact. De couleur gris et de marque Simplex, une filiale de Neiman, celui-ci est monté en complément du contacteur d’origine et il faut donc deux clés pour mettre le contact.
En avril 1967, la 2 CV AZAM est remplacée par la 2 CV AZAM Export encore plus luxueuse. L’harmonie de la planche de bord grise, et dominée par le Gris Rosé, est désormais abandonnée au profit d’une harmonie noir spécifique à ce nouveau modèle. Le volant en bakélite change donc de couleur, mais les modifications ne se limitent pas à cela. En effet, le tube fixe, lui aussi de couleur noir, retrouve une configuration plus proche de celle des autres 2 CV. Il perd son second point de fixation et sa longueur est ramenée de 40,5 à 24 cm. Le tube fixe des autres 2 CV, Berlines et Camionnettes, est alors toujours de 27,9 cm. Simultanément, Citroën adopte un antivol de direction de couleur noir, toujours de marque Simplex, pour la seule 2 CV AZAM Export et là encore disponible en option.
La 2 CV AZAM Export étant supprimée du catalogue à partir de fin août 1967 lors de la sortie de la Dyane, le volant métallique est à nouveau le seul disponible sur les 2 CV Berlines et Utilitaires. La configuration apparue en septembre 1962, avec un ensemble volant-colonne de direction de 81 cm de long et tube fixe de 27,9 cm est désormais la seule montée. Ne figurent alors plus au catalogue que la Berline 2 CV AZLP et les Camionnettes 2 CV AZU et 2 CV AK 350.
Des Années soixante-dix jusqu’aux Années quatre-vingt-dix
Au mois de février 1970, Citroën relance la 2 CV et remplace la 2 CV AZLP, à moteur de 425 cm3, par deux nouveaux modèles, la 2 CV 4, à moteur de 435 cm3, et la 2 CV 6, à moteur de 602 cm3. Pour ces nouvelles 2 CV Berlines, l’on reprend la planche de bord de la 2 CV AZAM Export de 1967, à quelques petits détails près, mais l’harmonie noir est remplacée par une harmonie bleu-gris. Le volant en bakélite Quillery fait donc son retour mais sous cette nouvelle teinte. Le diamètre de sa jante est toujours de 42 cm. Désormais, l’antivol de direction est monté en série. De couleur bleu-gris il assure là encore la fonction d’interrupteur de contact. Le tube de volant est de type 2 CV AZAM Export puisque, hormis sa couleur, celui-ci mesure 24 cm. Le pignon de commande de crémaillère, toujours à sept dents, est maintenant de type Ami 6. Ce n’est ni plus ni moins que celui adopté par la 2 CV AK 350 depuis sa sortie en avril 1963.
L’harmonie bleu-gris de la planche de bord est maintenue jusqu’au mois de juillet 1973 où elle devient marron. Simultanément, la 2 CV 6 reçoit un nouveau volant monobranche, donc de couleur marron, en mousse de caoutchouc. La 2 CV 4 conserve quant à elle le volant en bakélite Quillery mais désormais assortie à la nouvelle harmonie de la planche de bord. Les deux volants offrent toujours un diamètre de 42 cm.
A partir du mois de septembre 1974, les 2 CV adoptent de nouveaux phares rectangulaires et une nouvelle calandre amovible mais, avec eux, apparaissent diverses améliorations qui sont cependant moins visibles. Ainsi, l’antivol de direction, toujours de marque Simplex, intègre maintenant la fonction de démarrage en plus du verrouillage et du contact. Le petit bouton-poussoir rouge qui permettait jusque-là d’actionner le démarreur, disparaît donc du tableau de bord.
En juillet 1975, la direction est adoucie par l’adoption d’une nouvelle crémaillère commandée par un pignon à huit dents (rapport de démultiplication de 1/17 au lieu de 1/14). Cela permet le montage de nouveaux volants marron de 39 cm de diamètre. La direction adoucie est alors montée sur la 2 CV 6, la 2 CV AZU et la 2 CV AKS 400 qui a remplacé la 2 CV AK 350 au mois de juillet 1970. La 2 CV 6 conserve alors un volant monobranche en mousse de caoutchouc tandis que les deux Camionnettes, la 2 CV AZU et la 2 CV AKS 400, reçoivent un nouveau volant en plastique dur à deux branches. La 2 CV 4 garde quant à elle son grand volant marron en bakélite de 42 cm et son pignon de commande à sept dents.
Toujours en juillet 1975, la gamme des 2 CV Berlines s’enrichit d’une nouveau modèle de bas de gamme baptisé 2 CV Spécial. Reprenant la base mécanique de la 2 CV 4, elle reçoit la même direction que cette dernière, mais le grand volant en bakélite est ici noir, comme toute l’harmonie de la planche de bord.
Un an plus tard, au mois de juillet 1976, c’est au tour de la 2 CV 4 d’adopter la direction adoucie. Simultanément, l’harmonie marron de la planche de bord est remplacée par une harmonie noir sur tous les modèles. Donc, la 2 CV 4 reçoit un petit volant en plastique dur de couleur noir comme celui qui équipe désormais la 2 CV AZU et la 2 CV AKS 400. La 2 CV 6, voit elle aussi son volant changer de teinte.
La généralisation de la direction adoucie sur les 2 CV s’achève au mois d’avril 1977 lorsque la 2 CV Spécial en est à son tour équipée. Elle perd alors le grand volant en bakélite Quillery qu’elle était la dernière à conserver pour adopter le même petit volant noir en plastique dur qui équipe alors toutes les autres 2 CV hormis la 2 CV 6.
Dès lors les volants et la direction des 2 CV ne connaissent plus de modification jusqu’à l’arrêt de la production au Portugal en juillet 1990. Les nouveaux modèles qui apparaîtront après avril 1977 adopteront des volants existants. Ainsi la 2 CV 6 Spécial qui remplace la 2 CV Spécial à partir de juillet 1979 reprend logiquement le petit volant noir en plastique dur. La 2 CV 6 Club lancée simultanément hérite du volant monobranche noir en mousse caoutchouté de la 2 CV 6 à laquelle elle succède.
La 2 CV 6 Charleston produite en série limitée à partir d’octobre 1980 puis en série spéciale à partir de juillet 1981 adopte quant à elle la finition de la 2 CV 6 Club et donc son volant monobranche. Il en est de même pour les autres séries limitées. Elles reçoivent en effet toutes systématiquement la même direction et le même volant que les modèles sur la base desquels elles sont réalisées. La 2 CV Spot est ainsi équipée du grand volant en bakélite marron de la 2 CV 4, tandis que la 2 CV 007, la 2 CV France 3, les trois séries de 2 CV Dolly et la 2 CV Cocorico adoptent le petit volant noir en plastique dur de la 2 CV 6 Spécial.
Après ce second confinement dont les restrictions ont été levées les unes après les autres au cours des dernières semaines selon un calendrier fixé par les autorités sanitaires françaises, nous voici tous en été placé sous le signe de la liberté retrouvée. Avec la mise en place de la vaccination qui gagne enfin du terrain, nous avons cette fois-ci toutes les bonnes raisons de croire au retour d’une vie plus normale à tous points de vue.
Avec la parution de cette newsletter n° 29, nous voilà au tout milieu de l’été 2021 et plus que jamais cette période de l’année est aujourd’hui porteuse d’espoir. En effet, les restrictions dues au confinement sont levées petit à petit, les unes après les autres, permettant à tous de retrouver une vie sociale tout à fait normale ou presque. La première conséquence de cette liberté retrouvée est évidemment économique mais, et cela nous concerne aussi directement, les amateurs de voitures de loisir peuvent enfin à nouveau s’adonner pleinement à leur passion. Tous veulent profiter des beaux jours qui s’annoncent jusqu’à la rentrée et au-delà. Pour beaucoup, ces premiers jours d’été sont comme une sortie de l’hiver « sans être passé par la case printemps ». Un hiver qui a été bien trop long et bien trop pesant à tous points de vue…
De notre côté nous sentons bien que tout le monde souhaite s’évader et se changer les idées. Non seulement les clients qui viennent tous les jours à notre comptoir nous le disent ou tout du moins nous le font comprendre, mais aussi nous constatons que les clubs, petits et grands, piaffent d’impatience de reprendre leurs activités dans des conditions les plus normales possible. Tous leurs membres ont besoin de ce lien social qui les unit dans leur passion commune. Le besoin, l’envie de partager à nouveau est aujourd’hui d’une rare intensité. Les demandes de partenariats et de sponsoring en tous genres ont repris de plus belle. Nous sommes sollicités pour toutes sortes d’événements, depuis la petite sortie-promenade pour une dizaine de voitures jusqu’au gros rassemblement interrégional. Le fait d’avoir été privés de manifestations deuchistes commençait vraiment à peser. Il est tous les ans, des rendez-vous qui sont incontournables que ce soit des salons comme Rétromobile à Paris ou Epoqu’auto à Lyon ou encore la Rencontre Nationale des 2 CV Clubs de France dont la dernière édition remonte maintenant à 2019… Lorsque nous nous retrouverons à Saint-Dizier lors du week-end de l’Ascension en 2022, trois ans se seront écoulés en les deux éditions. Trois ans, c’est long !
La reprise des sorties et rassemblements va nous faire un bien fou à tous, et l’année prochaine est attendue avec autant d’impatience que d’espoir. Et ce d’autant que nombreux sont ceux qui ont mis à profit ces deux périodes confinements successives en 2020 et 2021 pour avancer dans leurs projets. Combien de 2 CV et de Méhari ont ainsi repris la route bien plus tôt que prévu ? Combien de chantier de restauration ont démarré et sérieusement avancé alors que, quelques semaines plus tôt, ils n’étaient que de vagues projets pour un futur pas forcément précis et plus ou moins lointain ? Ne nous voilons pas la face, pour beaucoup la passion a permis de s’occuper, de s’évader malgré tout pendant les confinements. Et le résultat est là aujourd’hui. Les Deuchistes, dans les starting-blocks depuis des semaines, n’ont plus qu’une seule envie, reprendre maintenant leurs balades au volant de leurs voitures préférées. D’ailleurs pour vous aider à les ressortir, à les réveiller après une si longue immobilisation, nous avons récemment mis en ligne une nouvelle vidéo didactique sur notre site Internet et sur les réseaux sociaux. Celle-ci est entièrement consacré à l’entretien courant mais aussi aux divers points de vérification dont il faut impérativement faire le tour si l’on veut profiter pleinement de sa petite Citroën une fois les beaux jours revenus. Les 2 CV et les Méhari sont bien sûr réputées fiables à juste titre, mais cela ne veut pas dire qu’il n’est pas nécessaire de leur porter régulièrement une attention toute particulière et de vérifier l’état de certains de leurs organes. Par exemple, un pneu, même neuf et d’une marque réputée, s’il est resté trop longtemps immobile peut subir une déformation parfois légère mais aussi parfois importante jusqu’à le rendre difficilement utilisable. Cela n’est pas évident pour tout le monde, mais une voiture s’entretient aussi bien lorsqu’elle roule que lorsqu’elle ne roule pas. Sa parfaite fiabilité est à ce prix. Mais, vous le savez, notre mot d’ordre est d’être toujours, toute l’année, et quoi qu’il arrive aux côtés des collectionneurs comme vous pour que vous puissiez vivre votre passion à cent pour cent. Et cette passion que nous partageons, est le moteur qui nous fait tous avancer chaque jour.
Parallèlement à cette reprise des sorties et des activités nous subissons depuis quelques mois une nouvelle hausse de coûts des matières premières que nous sommes obligés de répercuter. Nous avons donc dû prendre la décision de réactualiser nos tarifs d’ici fin Juillet 2021 qui seront mis à jour directement sur notre site web (les tarifs indiqués sur nos catalogues ne pouvant être corrigés seront incorrects jusqu’à la fin de l’année).
Vous l’aurez compris ces derniers mois sont placés sous le signe du changement et du renouveau !
Bien sûr rien ne nous dit qu’une quatrième vague ne nous submergera pas dans les mois à venir mais au vu des mois passés nous préférons positiver !
Depuis l’étude, la mise au point, l’homologation et en enfin la mise en production d’Eden, notre méhari électrique, nous nous sommes construits et nous avons acquis une expérience et un savoir faire uniques en matière de véhicule électrique de loisir. Grâce à notre expertise reconnue dans ce domaine, aujourd’hui inégalée, nous avons mis au point un kit Rétrofit de conversion pour 2 CV que nous avons baptisé R-Fit.
Pendant des mois, nos ingénieurs ont travaillé pour mettre au point le kit R-Fit et ensuite faire en sorte que nous puissions obtenir son homologation auprès de l’Utac. Comme pour Eden, le chemin a été semé d’embûches, mais nous sommes là encore arrivés à nos fins. C’est ainsi que depuis le 3 mai 2021, date désormais historique, pour notre entreprise mais aussi pour la mobilité électrique en France, notre kit R-Fit est désormais tout à fait légal ! Qui le souhaite peut maintenant faire équiper sa 2 CV de notre moteur électrique de Rétrofit et circuler en toute légalité sur la voie publique. D’ailleurs, le même jour, a été homologué un kit de conversion Rétrofit de marque Noil destiné aux scooters et vélomoteurs prouvant ainsi que notre initiative n’est pas isolée. D’autres homologations viendront. Un véritable mouvement se met petit à petit en place. Mais, en attendant, après notre Méhari Eden ainsi que notre implication dans la création de l’association Aire et dans son action pour l’obtention de la légalisation du Rétrofit en France, nous faisons encore une fois figure de précurseurs !
En effet, il est toujours bon de rappeler que le Rétrofit, démarche qui consiste à convertir un véhicule thermique, à essence ou Diesel, en un véhicule électrique, est autorisé par la loi française depuis le mois d’avril 2020, soit maintenant plus d’un an.
Nous allons désormais travailler à étoffer notre réseau d’installateurs agréés afin de le faire progressivement monter en puissance et pouvoir ainsi répondre à la demande dans les délais les plus brefs. Pour cela, nous avons lancé nos premières sessions de formation au début du mois de juin 2021. Elles se déroulent sur trois jours dans nos locaux de Cassis. Celles-ci ont avant tout pour but d’apprendre à installer le kit R-Fit, à le monter et à le démonter. Elles comprennent pour cela des tests sous forme de QCM (questionnaires à choix multiples). A l’issue de cette formation, les garagistes seront libres et autonomes pour l’installer dans leurs locaux. Nous leur délivrerons pour cela un agrément qui leur sera propre ainsi qu’un diplôme de certification. Car, rappelons-le, conformément à la loi relative au Rétrofit, seul le titulaire de l’homologation a la capacité de former dans un but d’agrément les installateurs de son kit.
Notre entreprise, au gré de ses évolutions et de ses besoins, développe et enrichit constamment ses équipes. Ce mois-ci nous accueillons Alexandre Brichet et Justin, deux nouveaux arrivants, ou presque… Si Alexandre, jeune ingénieur diplômé, vient d’obtenir chez nous son premier poste, dans le cas de Justin, que certains d’entre vous connaissent bien, il s’agit en fait plutôt d’un retour.
Depuis le mois de février 2020, Alexandre Brichet est ingénieur diplômé en mécanique et conception de l’UTBM, ou Université de Technologie de Belfort et Montbéliard. Une fois son diplôme obtenu, il s’est tout de suite mis à la recherche d’un emploi, mais la crise sanitaire et le premier confinement ne lui ont pas facilité les choses, loin de là… C’est finalement grâce à une annonce que nous avions passée sur le site Internet Indeed.com que nous sommes entrés en contact avec lui. Après avoir postulé, nous l’avons ainsi rencontré et il a été officiellement engagé à partir du 23 janvier 2021. Passionné de voitures anciennes, il connaissait déjà notre entreprise via les nombreux grands salons nationaux et internationaux sur lesquels nous sommes régulièrement présents.
Sa mission en tant que support technique a avant tout pour but de répondre tant par téléphone que par mail aux questions des clients qui ont un souci avec leur voiture. Avec eux, il trouve la solution mais leur indique aussi, explications à l’appui, la méthode à suivre pour la mettre en application. Quand il est entré en fonction, il y avait une intérimaire qui était seule, mais depuis peu de temps, il fait équipe avec Michel Santoni. Evidemment, pour occuper un tel poste, il est nécessaire d’avoir un minimum de passion et de connaissances de la mécanique, mais il faut aussi, surtout, bien connaître toutes les spécificités techniques de la 2 CV et des Modèles Dérivés. Il a ainsi commencé par faire deux semaines à l’atelier où il a monté des 2 CV afin de connaître leur fonctionnement dans les moindres détails. Alexandre apprécie particulièrement de pouvoir aider les gens, les aider à avancer dans leurs travaux mécaniques. Dans son école d’ingénieur, il y avait un club de voitures anciennes au sein duquel il faisait la même chose. Appréciant particulièrement la mécanique, il a déjà entièrement refait une R 4 pour participer en 2018 au 4 L Trophy et vieux Land Rover qu’il entretient et répare lui-même. Travailler aussi dans une entreprise qui est leader dans son domaine, et qui en plus est technologiquement très en pointe avec la réalisation de projets comme Eden et le kit R-Fit, l’intéresse tout particulièrement. Alexandre espère bien, à terme, avoir l’opportunité d’évoluer vers d’autres postes et voir ainsi d’autres facettes d’une entreprise comme la nôtre.
Certains d’entre vous se souviennent certainement de Justin qui avait été pendant trois ans, de janvier 2016 à décembre 2018, notre animateur réseau. Le voici donc de retour au sein de nos équipes depuis le 19 avril 2021. Désormais, il travaille plus en liaison avec Clément Chiri qui est en contact avec vous pour toute la partie commerciale. Justin est lui plus l’homme de terrain. En contact direct avec chacun de nos garages partenaires, il leur rend visite lors de ses tournées régionales. Son rôle est de s’inscrire dans la continuité de ceux qui ont occupé ce poste ces dernières années, mais tout en mettant en place une présence, une écoute encore plus permanente pour mieux répondre à vos attentes. Depuis son arrivée, Justin a fait beaucoup d’administratif ici à Cassis afin de reprendre ses marques et de prendre la mesure de l’évolution dont le réseau a fait l’objet depuis un peu plus de trois ans. Il a aussi par ailleurs beaucoup été sollicité en tant que soutient au comptoir prouvant là sa polyvalence, ce qui est important lorsque l’on occupe un poste comme le sien. Cela lui a permis de retrouver la clientèle et les différentes références de nos catalogues. Là encore, il y a eu de nombreuses évolutions en trois ans.
Il a récemment repris ses déplacements dans divers départements tels que le Var, les Alpes-Maritimes, le Vaucluse, la Drôme, l’Isère ou encore le Rhône, la Haute-Loire et le Puy-de-Dôme. Justin est aussi impliqué dans la gestion des dossiers de candidatures des installateurs R-Fit. Il a la charge des inscriptions aux stages de formation qui vont nous permettre la mise en place de notre réseau d’installateurs agréés. Passionné de 2 CV, Justin est ravi de retrouver le 2CV-MCC et est parfois surpris par l’ampleur de certaines évolutions que son activité a connues depuis fin 2018.
Nous avons récemment été contactés par le groupe Pernod-Ricard qui est actuellement en pleine mutation à Marseille. Depuis le 26 août 2020, celui-ci a installé son nouveau siège en centre ville au sein du bâtiment des Docks situé dans le quartier de la Joliette.
Dans ce bâtiment en pleine réhabilitation, le numéro un mondial de l’apéritif anisé a ainsi acquis plus de 7700 m2. Là, il a fait aménager des locaux en rez-de-chaussée avec bureaux, mais aussi avec un espace baptisé La Maison de L’Anis entièrement dédié à cette spécialité toute provençale. Destiné à accueillir une clientèle constituée du public marseillais mais aussi d’une très large part de touristes, celui-ci totalise à lui seul quelques 1 000 m2. Pour rappel, la Joliette, quartier historique de la Cité Phocéenne, borde le port où, tout au long de l’année, sont amarrés de nombreux bateaux de croisière. De plus, ce nouveau site, véritable vitrine du savoir-faire du groupe Pernod-Ricard, est situé juste en face des terrasses du port et à côté du fameux Mucem (Musée des Civilisation de L’Europe et de La Méditerranée), musée national de réputation mondiale.
A La Maison de L’Anis, les visiteurs pourront déguster toutes sortes de produits à base d’anis depuis le plus traditionnel jusqu’au plus inédit ! Il y aura pour cela un bar pour les cocktails de toutes sortes ainsi qu’un restaurant où de grands chefs étoilés viendront chacun leur tour proposer leurs plats originaux. Ils en auront spécialement imaginés les recettes comprenant toutes de l’anis dans la plus pure tradition culinaire méditerranéenne. Il est aussi prévu la mise en place d’une zone sensorielle où les visiteurs pourront à loisir voir, toucher et sentir des spécialités et produits locaux.
Pour l’aménagement de cet espace, notre société, le 2 CV-Méhari Club de Cassis, a été officiellement sollicité pour apporter son concours en tant qu’acteur de la vie économique et culturelle locale. En effet, depuis maintenant plus d’un quart de siècle, la Méhari fait partie du paysage littoral français et tout particulièrement ici dans les environ de Cassis et en Provence. Evidemment, cela est en partie grâce à nous, et le fait que nous ayons été retenus comme acteur local participant à La Maison de L’Anis est une véritable reconnaissance à tous points de vue. Nous participons ainsi à la mise en place d’une animation qui sera constituée d’une véritable Méhari animée et montée sur vérins dans laquelle prendront place les visiteurs. Tout autour de celle-ci, se trouvera un écran géant sur 360 degrés. Le but est ainsi de proposer une expérience sensorielle autour de la vie méditerranéenne avec ses senteurs, la mer, le vent mais aussi des rencontres avec des habitants puisque le film qui sera projeté proposera des interviews de personnages locaux. Cette Méhari que nous avons fournie portera nos couleurs. Véritable ambassadrice pour notre entreprise, elle sera ainsi décorée de nos logos et portera les intitulés de nos différents sites Internet. Dans un second temps, le film projeté dans le cadre de cette animation proposera aux passagers de la Méhari de débuter leur promenade méditerranéenne depuis notre site de Cassis et faire ainsi la route jusqu’à Marseille par le bord de mer.
A la sortie de cette zone d’animations, l’on trouvera ensuite une boutique dans laquelle nous serons aussi présents. Pour La maison de L’Anis, nous avons fait tout spécialement réaliser un tee-shirt et des Méhari en Lego. D’autres goodies sont prévus et viendront bientôt les rejoindre.
Dans cette opération, avec le groupe Pernod-Ricard, notre entreprise et son image s’associent à un pilier de la vie économique du sud de la France. L’ambition de La Maison de L’Anis est de devenir à moyen terme un des trois lieux les plus visités de Marseille. Et, évidemment, comment ne pas accepter de faire partie de cette aventure dont la dimensions est tout à la fois régionale et internationale ? L’inauguration est d’ores et déjà prévue au mois de juillet 2021. A cette occasion, nous mettrons en place un service de navettes constitué de Méhari Eden et de 2 CV R-Fit destiné aux personnalités publiques du monde politique et culturel invités pour l’occasion. Ce sera un gros événement. La ville de Marseille est très demandeuse lorsqu’il s’agit de mettre en avant de l’activité économique et la culture locales. Pour ce que nous avons pu en voir jusqu’à présent, nous l’avons visité alors qu’il était encore en travaux, le lieux et son aménagement ultramoderne s’annoncent grandioses.
Depuis sa création à Cassis, notre entreprise s’impose aussi dans la vie locale de plus en plus chaque année. Le 2 CV-MCC fait aujourd’hui indéniablement partie du paysage économique régional, et cette implication dans ce projet culturel à forte identité méditerranéenne en sera un des signes les plus visibles.