Une balade en méhari sur les routes de montagne
2CV-MCC | 18 septembre 2019
Quel habitant de la Région Parisienne ne rêve pas un jour de tout laisser derrière lui, de partir s’installer en Province et d’y profiter de la douceur de vivre ? Thierry Censier, lui, a franchi le pas en 2018 et est retourné dans sa région natale. Dans le Béarn, à Puyoô, il a ainsi ouvert un garage entièrement dédié à sa passion !
Après trois ans passés comme mécanicien engagé dans la Marine, Thierry Censier trouve un premier emploi chez Mercedes poids lourds en Seine-Saint-Denis. Quatre ans plus tard, en 1985, il a 25 mécaniciens sous ses ordres lorsque son grand-père paternel lui propose de racheter son agence Citroën dont le gérant vient de décéder. Avec son épouse Catherine, ils décident donc de se lancer dans l’aventure. Ils reprennent l’agence en juillet 1985, et conservent son unique mécanicien qui était là depuis 35 ans et qui avait été embauché comme apprenti… En 2000, Thierry rend le panneau Citroën et devient un garage toutes marques indépendant. Le volume de travail que représentent les voitures modernes ne lui permet malheureusement pas de travailler autant qu’il le voudrait sur les Petites Citroën qu’il aime tant. L’année suivante, il devient Point Relais 2CV-MCC pour la région nord de Paris.
A titre personnel, Thierry est très impliqué dans le milieu associatif de la Méhari. En 1994, il achète à Toulon une Méhari Vert Montana deux places de 1981 à un ancien militaire. Avec elle, il participe en 1998 au fameux rassemblement des 30 ans organisé à Deauville par le Méhari Club de France et en remporte la coupe à l’issue du rallye-questions. Il s’inscrit alors au club, en devient vice-président dans un premier temps puis, fin 2002, président à la suite de Jean-Claude Tronchaud qui avait lui-même succédé à Jean-Marie Defrance. Avec une équipe recomposée, il donne alors un nouvel élan à l’association. Il crée par exemple les antennes régionales qui permettent de fédérer tous les passionnés et qui procurent aujourd’hui au club une véritable dimension nationale.
Mais, un peu lassé de son activité en Région Parisienne et souhaitant changer de vie, Thierry décide en 2015 de fermer son garage et revend le bâtiment qui avait été construit en 1930 par son arrière-grand-père. Son projet est de se consacrer désormais entièrement à sa passion et aux Petites Citroën. Avec son épouse, il part alors s’installer dans sa région d’origine, à Puyoô, près de Bayonne dans le département des Pyrénées-Atlantiques.
Pendant deux ans, il déménage petit-à-petit tout son matériel, son outillage, ses pièces et ses voitures. Installé dans un bâtiment de 600 m2 avec 1 500 m2 de terrain, il débute son activité en mai 2018 juste après l’organisation des 50 ans de la Méhari à Amboise. Dans ce nouveau garage, baptisé Méhari Béarn 64, Thierry dispose de deux ponts à deux colonnes et d’un poste pour la mécanique. Il travaille tout seul, son épouse se charge de la comptabilité le soir à la maison.
Quand il faut beau, c’est-à-dire souvent, il n’hésite surtout pas à travailler dehors. Comme il le dit lui-même « J’apprécie beaucoup cette vie de province. Je travaille sur des voitures que j’aime. Et depuis que je suis loin de la Région Parisienne, chaque jour a comme un petit goût de vacances. ».
Il se charge de tous les travaux mécaniques et de l’électricité, mais il sous-traite tout ce qui est tôlerie et peinture. Bien sûr, Thierry a emporté avec lui son contrat de Point Relais. Il dispose d’un petit stock de pièces 2CV-MCC pour l’entretien courant et passe en moyenne une vingtaine de commandes par an à Cassis. Mais cela peut varier si ses chantiers en cours sont par exemple des restaurations complètes qui nécessitent beaucoup de pièces neuves. Au fil des mois, il s’est constitué une clientèle conséquente, et ce d’autant qu’il n’y avait plus personne dans la région qui travaillait sur les Petites Citroën. Au début, il a fait un peu de publicité dans la presse spécialisée, puis le bouche-à-oreille a fait le reste.
Aujourd’hui, Thierry n’aspire plus qu’à une chose, continuer à assouvir sa passion en travaillant sur les voitures qu’il aime. Et, clairement, son objectif est de continuer comme çà jusqu’à l’âge de la retraite !
Trois questions à Thierry Censier :
Interview expresse
– Depuis combien de temps êtes-vous dans la 2 CV ?
– « Je suis dans la 2 CV depuis ma naissance. Mon père en a toujours eu. Je me souviens, enfant, qu’il nous disait toujours « Attention ! Accrochez-vous, la portière risque de s’ouvrir dans le virage ! » Ça nous faisait beaucoup rire avec mes frères et sœurs. Il possédait une 2 CV AZAM de 1967 qui était tombée en panne et qu’il avait promis de me donner à condition que j’aie les moyens de l’assurer. Lorsqu’elle a été à moi, je l’ai réparée et l’ai utilisée pour aller travailler. Je l’avais repeinte en blanc et jaune, aux couleurs des courses landaises. Mais, un jour, à un carrefour, je me suis fait entrer dedans par l’arrière. Puis elle a eu des problèmes moteur. Alors je l’ai découpée en morceaux et l’ai apportée à la déchetterie. Aujourd’hui je le regrette, évidemment… Sinon, je me souviens aussi que mes grands-parents maternels, Raymond et Marie Molia, qui habitaient à Dax dans les Landes, étaient représentants Teepol pour toute l’Aquitaine. Pour leur travail, ils avaient des 2 CV AU, les premières 2 CV camionnettes à moteur de 375 cm3, qui, entièrement peintes en jaune et rouge étaient aux couleurs de ce fameux produit nettoyant multi-usages. Quand il les revendait, mon grand-père les faisait repeindre en gris sauf les roues qui restaient rouge. ».
– Quel est votre modèle préféré ?
– « Ma 2 CV AZL de 1958, sans aucune hésitation. Tout d’abord parce qu’en 1958, la 2 CV AZL est un modèle très peu courant. En effet, depuis la sortie de la 2 CV AZLP (à porte de malle) en septembre 1957, les ventes de la 2 CV AZL (à capote longue) se sont effondrées. Et puis c’est une voiture exceptionnelle dont je suis aujourd’hui le propriétaire. Je connais tout son historique. Elle a par exemple été équipée neuve d’une malle bombée accessoire comme ça se faisait beaucoup à l’époque. C’est le concessionnaire qui l’avait vendue qui s’était occupé de la transformation. Sous la malle, sur la face arrière, il y a même encore la première immatriculation en WW ! Et puis son état est lui aussi très intéressant puisqu’elle n’a qu’à peine 50 000 kilomètres d’origine. A l’époque, je l’avais payée 10 000 francs et, en 1998, j’étais allé avec au Cinquantenaire de la 2 CV à Saint-Quentin-en-Yvelines. D’ailleurs, il n’est pas impossible qu’en octobre prochain je reprenne la route avec elle. J’aimerais participer à La Petite Vadrouille des 2 CV de Cocagne, cette sortie organisée au Veurdre, dans le centre de la France, exclusivement réservée aux 2 CV 425 cm3 d’avant 1963. »
– Quel est votre meilleur souvenir en Petite Citroën ?
– « Mon meilleur souvenir est certainement ma première rencontre avec Roland de La Poype, le célèbre créateur de la Méhari. Avec le Méhari Club de France, nous avions organisé en 2008 dans Paris une sortie en Méhari au profit de La Croix Rouge Française avec des enfants handicapés. Il nous avait ensuite accueillis chez lui où nous avions passé des heures à discuter et à l’écouter nous raconter ses souvenirs. C’était un moment vraiment exceptionnel et je sentais bien qu’il était heureux de partager tout cela avec nous. On avait l’impression que cela aurait pu durer éternellement tant il avait de choses à partager sur sa création. C’est d’ailleurs peu de temps après qu’il nous avait fait cadeau des éléments multicolores avec lesquels j’avais construit la Méhari Arlequine. Cette fameuse Méhari que nous avions exposée à Amboise, et qui a malheureusement été volée depuis…. Ce jour-là, pour continuer à discuter, il nous avait retenus à déjeuner et nous avions mangé une omelette dans sa cuisine à la bonne franquette. Il n’avait aucune envie que nous partions. C’était vraiment une rencontre inoubliable ! »
Garage Méhari Béarn 64
Thierry Censier
2006, route départementale 817
64270 Puyoô
Tél. : 05 59 67 26 85 et 06 09 43 91 80
Mail : meharibearn64@gmail.com
Facebook : Méhari Béarn 64
De 1949 à 1990 la 2 CV reçoit de nombreux types et modèles de sellerie. Depuis la 2 CV A de 1949 jusqu’à l’apparition du nouveau capot à cinq nervures en décembre 1960, les tissus et les motifs des premières 2 CV ont fait l’objet de nombreuses modifications. Nous vous proposons ici de faire le point sur toutes les évolutions de cette première période et d’y voir un peu plus clair en matière de configuration d’origine.
● Le tissu gris, 1949 – 1953
Lorsque les premières 2 CV A sont construites à l’usine de Levallois au mois de juillet 1949, leur sellerie est conforme à celle qui équipait les trois exemplaires présentés lors du salon de Paris en octobre 1948. Les banquettes avant et arrière reçoivent des garnitures confectionnées en drap gris composé pour moitié de laine et pour moitié de coton. Les armatures des banquettes sont peintes en Gris Métallisé AC 109 comme le reste de la voiture, et possèdent sur leur montant central une double rangée de perçages.
Lorsque la 2 CV AU, la version camionnette de la 2 CV A, sort en février 1951, elle reçoit une sellerie identique, mais ses garnitures sont spécifiques. Elles équipent des sièges séparés dont le second est uniquement disponible contre un supplément de prix.
● Les tissus écossais, 1953 – 1961
En septembre 1952, les 2 CV A et 2 CV AU reçoivent une nouvelle livrée Gris Uni Foncé AC 118 qui s’appliquent là encore aux armatures de banquettes et de sièges. Elles conservent cependant la sellerie grise de leurs débuts. En fait, elles doivent attendre le mois de mars 1953 pour recevoir une sellerie en tissu de rayonne (viscose) à motif écossais qui offre alors dans l’habitacle gris et noir un contraste coloré du plus bel effet. Trois combinaisons de couleurs sont disponibles, Bleu avec motifs blanc et or, Bleu avec motifs rouge et or ainsi que gris avec motifs rouge et vert. Pour chaque combinaison, le dessin écossais est différent avec des filets de largeurs diverses. Ces garnitures équipent les 2 CV de façon aléatoire et il n’est pas prévu de pouvoir choisir la combinaison des couleurs de sa sellerie lors de la commande de sa voiture.
Lorsque sortent la 2 CV AZ et la 2 CV AZU à moteur de 425 cm3 au mois de septembre 1954, toutes les 2 CV adoptent une nouvelle livrée de couleur Gris Clair AC 132. Cette couleur remplaçant la précédente, s’applique donc aussi aux armatures des banquettes et des sièges.
A la sortie de la 2 CV AZL en novembre 1956, les 2 CV A et 2 CV AZ ne reçoivent dès lors plus que la garniture écossaise Bleu avec motifs rouge et or. Elles la conserveront jusqu’à la fin officielle de leur production au mois de juin 1961. Quant à la 2 CV AZU elle conservera pour sa part les trois types de tissu écossais jusqu’à ce qu’elle adopte le tissu bayadère en octobre 1957.
● Les tissus Bayadère, depuis 1956
Une nouvelle 2 CV Berline plus luxueuse sort au mois de novembre 1956. Elle vient compléter la gamme qui comprend déjà la 2 CV A et la 2 CV AZ. Désigné 2 CV AZL, ce nouveau modèle se caractérise par un niveau de finition plus élevé avec des baguettes enjoliveurs, une buse de dégivrage de pare-brise et une nouvelle capote à grande lunette dont la bâche est en polychlorure de vinyle. Celle-ci est alors disponible soit en bleu soit en vert avec une nouvelle sellerie assortie. Les garnitures de la 2 CV AZL reçoivent alors un tissu, toujours en rayonne, à motif rayé désigné Bayadère. Aussi, à partir de novembre 1956, les armatures des banquettes de la 2 CV A, de la 2 CV AZ et de la 2 CV AZL sont peintes dans un gris plus clair que le gris AC 132 de la carrosserie. Ce gris, désigné Gris Acier AC 121 est aussi appliqué sur leur volant, leurs pare-chocs et leurs roues. De son côté, la 2 CV AZU conserve des armatures de sièges peintes en Gris Clair AC 132.
Moins d’un an plus tard, en octobre 1957, lors de la sortie de la 2 CV AZLP, la version luxe avec porte de malle, le catalogue des pièces détachées Citroën mentionne l’apparition d’une nouvelle harmonie avec une capote Grenat et des garnitures Bayadère rouge qui s’applique aussi à la 2 CV AZL. Cependant, il semble que ces garnitures aient été montées un peu plus tôt dans l’année sur cette dernière.
Toujours en octobre 1957, la 2 CV AZU abandonne les trois garnitures à motif écossais et reçoit uniquement les garnitures Bayadère bleu. De plus, à partir de février 1959, ses armatures de sièges sont désormais peintes en Gris Acier AC 121 et non plus en Gris Clair AC 132 comme le reste de la carrosserie.
En juillet 1960, sur la 2 CV A, la 2 CV AZ, la 2 CV AZL et la 2 CV AZLP, dans un souci de sécurité passive, la barre horizontale du sommet du dossier de la banquette avant reçoit un bourrelet en caoutchouc-mousse gris constituant un rembourrage efficace pour les passagers arrière. Deux mois plus tard, en septembre 1960, lorsque la couleur des accessoires peints en gris change sur toutes les 2 CV avec l’apparition du fameux Gris Rosé AC 136, les armatures de banquettes et de sièges ne font pas exception.
En novembre 1960, un courrier aux concessionnaires indique que les 2 CV AZL et les 2 CV AZLP peintes en Vert Embrun AC 511 (couleur sortie en septembre 1960 sur les 2 CV Berlines) avec capote Vert Foncé sont désormais disponibles avec des garnitures Bayadère bleu ou Bayadère rouge en plus des garnitures Bayadère vert. Idem, ce même document précise que les 2 CV AZL et 2 CV AZLP peintes en Bleu Glacier AC 606 (couleur sortie en septembre 1959 sur les 2 CV Berlines) avec capote Bleu Foncé reçoivent des garnitures Bayadère rouge en plus des Bayadère bleu.
A partir du 12 décembre 1960, l’arrivée de la nouvelle couleur Jaune Panama AC 307 concomitante à la sortie du nouveau capot à cinq nervures sur la 2 CV Berline, n’implique pas à ce moment l’apparition de nouvelles garnitures Bayadère. Celle-ci reçoit en effet soit les garnitures Bayadère rouge et la capote Grenat, soit les garnitures Bayadère vert et la capote Vert Foncé.
Depuis le début de l’année 2019, le premier siècle d’existence de Citroën a été célébré avec faste et à de très nombreuses occasions. Mais l’anniversaire officiel, celui dont l’organisation est entièrement soutenue par le constructeur et le groupe PSA, se déroule en ce moment-même en Eure-et-Loir sur l’un des sites les plus historiques de la marque.
Evénement automobile de l’année placé sous le signe des deux chevrons, le rassemblement organisé à La Ferté-Vidame pour célébrer le premier siècle d’existence de la marque Citroën est grandiose. Organisé du vendredi 19 au dimanche 21 juillet par l’association Célébration Centenaire Citroën, ce rassemblement est à ne manquer sous aucun prétexte car il ne se reproduira pas avant 2119…
Conçu pour être festif mais aussi familial et associatif, celui-ci bénéficie du soutien plein et entier du constructeur lui-même, Automobiles Citroën, ainsi que de toutes ses entités patrimoniales et du groupe PSA auquel il appartient. Ainsi, l’ACI (Amicale Citroën Internationale), Citroën Héritage, Citroën Origin’s et L’Aventure Peugeot Citroën DS sont particulièrement impliqués dans les préparatifs et le déroulement de cet anniversaire hors norme.
Pour cet anniversaire unique, il fallait un lieu unique et c’est celui de La Ferté-Vidame qui a finalement été retenu. En effet, depuis le début de l’année 1938, Citroën y possède son fameux Centre d’Essais qui a permis dans le plus grand secret la mise au point et le développement de modèles légendaires tels la 2 CV et la DS. Cette petite ville du Perche, située en Eure-et-Loir dans la région très touristique du Centre–Val-de-Loire, apporte aussi tout son soutien à l’organisation de cette grande fête.
Les Citroënistes venus du monde entier sont tous rassemblés dans les jardins à la française entourant l’imposante ruine du château de La Ferté-Vidame datant du XVIIIe siècle. Pendant trois jours, de nombreuses animations sont proposées aux participants avec par exemple un musée éphémère, un concours d’élégance ou une vente aux enchères. Vous en trouverez tout le détail sur le site officiel de l’organisation : https://citroencc.com.
N’hésitez pas à venir nous rencontrer sur notre stand de quelque 100 m2 qui est animé par une équipe de trois personnes dont Edouard Chappert, notre responsable du réseau Points Relais et professionnels.
Sur ce stand, vous pourrez ainsi découvrir notre magnifique Bip Bip 2 qui a roulé durant le rallye Dakar en 2007 et notre très rare Méhari US avec sa malle et son intérieur en osier.
Vous pourrez également découvrir en exclusivité totale notre nouvelle 2CV électrique 007 ainsi que notre kit de conversion.
On vous y attend nombreux et nombreuses !
Afin de mieux répondre à l’augmentation du volume des commandes, nous avons mis en place une nouvelle organisation de notre équipe chargée de la préparation et de l’expédition des commandes. Nous avons ainsi rapidement absorbé le retard qui était apparu et nous bénéficions d’un fonctionnement plus réactif et plus souple.
Les nombreuses offres exclusives et promotions que nous avons mises en place depuis plusieurs semaines pour célébrer le centenaire de Citroën ont connu un très gros succès. Et ce succès a pour effet logique d’augmenter considérablement notre volume de ventes. Historiquement, nous venons de connaître les mois d’avril et de mai les plus importants dans ce domaine ! Evidemment, tout cela n’est pas sans répercussions sur le fonctionnement de notre entreprise au quotidien. Vous vous en êtes peut-être rendu compte, cet accroissement a en effet provoqué un retard dans la préparation et la livraison des commandes de pièces. Pour y pallier, nous avons réagi au plus vite afin de le combler et être en mesure de retrouver un fonctionnement normal dans des délais les plus brefs et nous avons mis en place une nouvelle organisation avec une rotation de type « deux huit ». Nous avons tout d’abord modifié les horaires de travail et, au lieu d’une seule auparavant, nous avons instauré deux équipes travaillant successivement. La première est en poste de six à treize heures, et la seconde la relaie de treize à vingt heures. Chacune travaille ainsi sept heures par jour pour que la préparation et la livraison des commandes soient effectives du lundi au vendredi pendant quatorze heures sans aucune interruption. Nous avons ainsi doublé notre performance et sommes en capacité d’être plus réactifs qu’à l’accoutumée afin de vous servir encore mieux.
Nous sommes bien conscients de l’importance que représente ce problème. Nous travaillons en permanence pour limiter ses effets et faire en sorte de nous en débarrasser définitivement dans un avenir le plus proche. A l’heure actuelle, tout le retard est totalement absorbé et cette nouvelle organisation va rester en place jusqu’à nouvel ordre.
Par ailleurs, vous savez combien l’optimisation de nos services est importante pour nous. Comme nous vous l’avions annoncé dans notre précédente newsletter, nous avons lancé la construction d’un nouveau bâtiment sur notre site à Cassis. Celui-ci est prévu pour recevoir l’intégralité de notre activité logistique. Une fois achevé, nous améliorerons encore la performance de nos expéditions et ce avec une meilleure réactivité. Rappelons-le, ce nouveau bâtiment de 5 000 m2 a été spécialement conçu pour répondre à nos besoins. Cette structure accueillera également nos ateliers de sellerie et de fabrication des plateformes et nous permettra ainsi de réduire considérablement les grosses opérations de manutention et les coûts qu’elles engendrent.
Nous venons d’ajouter à notre catalogue 602 un pack d’ampoules led premium de haute qualité. Exclusivité 2CV-Méhari Club Cassis, ce nouveau produit a été lancé en avant-première sur notre stand dans le cadre de la 26e Rencontre Nationale des 2 CV Clubs de France à Saint-Amand-Montrond dans le Cher.
Livré par paire, ces ampoules sont tout à la fois destinées aux Petites Citroën équipées de phares de type H 4, de type CE (Code Européen) et de type BA 21 D (ampoules à baïonnette). Si, pour les phares de H 4, leur montage se fait sans aucune modification en lieu et place des ampoules d’origine, pour les phares CE et les phares BA 21 D, il est impératif d’utiliser les adaptateurs spéciaux que nous vendons séparément. Ce pack, en plus de se monter sur tous les types de phares, convient tout aussi bien pour toutes les Petites Citroën en 12 volts que pour les 2 CV anciennes fonctionnant en 6 volts. Des petits films adhésifs transparents teintés sont fournis avec et permettent aux amateurs de Vintage, d’obtenir un faisceau d’éclairage de couleur jaune comme à l’époque.
Désigné Lampes Led Premium 6/12 V, ce nouveau pack figure à notre catalogue sous la référence 1830140 au prix public de 161,26 euros et au prix club de 129,00 euros, soit une réduction de l’ordre de 20 %. Quant aux entretoises spéciales, celles-ci sont vendues par paire. Le modèle pour phares CE, référence 1830141, est proposé au prix public de 36,25 euros et au prix club de 29,00 euros. Quant au modèle pour phares BA 21 D, il est affiché à 68,75 euros prix public et 55,00 euros prix club. Là encore, dans ces deux cas, la réduction est de 20 %.
Rappelons que depuis le mois de mars 2018, nous intégrons à notre catalogue une véritable gamme de produits Led de grande qualité, en 6 et en 12 volts. Celle-ci compte plus d’une vingtaine de références, depuis le pack complet jusqu’aux ampoules de tous modèles. Nous sommes aujourd’hui en mesure d’équiper totalement ou partiellement tous les modèles de 2 CV, Méhari, Ami 6 et 8, Dyane et Acadiane.
Le principal avantage de l’éclairage Led est d’offrir un rendement lumineux largement supérieur à celui des ampoules classiques à incandescence. Ensuite, ce rendement est aussi obtenu avec une consommation d’énergie particulièrement réduite. Actuellement, avec une ampoule Led de cinq watts, on obtient la même efficacité lumineuse qu’avec une ampoule à incandescence de 60 watts ! Permettant de bien voir, mais aussi d’être bien vu en optimisant le fonctionnement des clignotants, des lanternes et des feux de stop, les ampoules Led sont des éléments apportant un gain très élevé en matière de sécurité dans la circulation quotidienne. D’autre part, grâce à leur consommation particulièrement basse, les ampoules Led permettent de réduire considérablement la sollicitation de tous les organes électriques des voitures. Si cela est vrai pour le 12 volts, il l’est encore plus pour le 6 volts ! La batterie, la dynamo ou l’alternateur, mais aussi le comodo ou tout simplement le faisceau et toute sa connectique, ne sont plus autant sollicités qu’avant. Pour ces deux derniers, cela se traduit par un échauffement désormais quasi nul. Là encore, la sécurité est renforcée !